mercredi 19 mai 2010

Gestion curieuse des membres chez VIADEO


   Il m'est arrivé une histoire, que je trouve assez scandaleuse, avec le réseau VIADEO, auquel je suis inscrit, depuis quelques mois , comme distributeur de Lifewave.
 
Un jour que j'essayais de me connecter, un robot m'annonça que mon compte était désactivé.

Pourtant des internautes continuaient à lire ma page et à me proposer de faire partie de mes contacts. Ces veinards pouvaient donc accéder à ma page sans problème. Tous, sauf moi.

Tout aussi étonnant fut la réponse de VIADEO, quand je leur demandai le pourquoi de cette sanction. Je reçus alors une liste de raisons parmi lesquelles on me demandait de faire mon choix.

Ainsi non seulement VIADEO désactive un compte sans prévenir son propriétaire mais en plus, il est infoutu de lui dire pourquoi à postériori.

Quelle façon désinvolte de gérer la clientèle.

Les responsables (sic) reçurent alors un mél furibard de ma part: c'était à eux de me donner la raison de ma mise à l'index, pas à moi de la deviner.

Une réponse neutre m'enjoignit de modifier ma page d'accueil ce que je n'ai pu faire puisque l'accès à celle-ci ne se déverrouille toujours pas. Le comble de cette situation ubuesque: je ne peux même pas supprimer mon compte puisque je n'y ai plus accès.

Je soupçonne, car je l'ai lu dans la liste des causes de désactivation, que mon statut de distributeur Lifewave n'est pas étranger à cette initiative. On n'a pas l'air d'aimer les adeptes du MLM et notamment de Lifewave (le nom est cité) dans ce site.

Question: d'autres collègues "lifewavistes" ont -ils subi le même sort funeste?

Pour être franc, je n'attache pas une grande importance à VIADEO, mais certaines de ses pratiques sont fort douteuses et donc à dénoncer bien haut.

Ce que je fais ici avec beaucoup de plaisir.



samedi 15 mai 2010

Le patch Y Âge de Lifewave: un moyen unique de désintoxiquer l’organisme


   
Est-il exagéré de prétendre que le patch «Anti Âge» de Lifewave est un produit unique à tous les points de vue?

   En tous cas, au jour d’aujourd’hui, il est le seul moyen de permettre au corps de produire rapidement et sans effet secondaire cet exceptionnel antioxydant qu’est le glutathion.

   Je relisais récemment ce que nous recommandait le naturopathe Charles Byrau, dans son livre «Votre foie, votre sauveur est en danger», paru aux éditions Godefroy en 2002, à savoir: une supplémentation en glutathion, qui «est le principal antioxydant et détoxicant corporel actuellement connu».

   Cependant il n’est pas assimilable par l’organisme. En effet le glutathion ne peut traverser les cellules du tube digestif. Il faut alors tenter de l’ingérer en prenant séparemment les trois acides aminés qui le composent: l’acide glutamique, la glycine et la cystéine.

   Si notre alimentation, à condition qu’elle soit équilibrée, nous procure suffisamment des deux premiers, il faut recourir à la supplémentation pour donner au corps sa dose appropriée de cystéine. Avec des risques non négligeables d’effets secondaires: «calculs des reins, de la vessie et de l’urètre». Et ce n’est pas fini: «Avant d’arriver à la cellule, la cystéine risque fort d’être détériorée par les radicaux libres et de devenir toxique.»

   Jusqu’à présent, n’existait au monde qu’un concentré de lactosum très riche en cystine pouvant être absorbé sans trop de risques. Mais le seul produit mis sur le marché était assez coûteux.

   C’est pourquoi, seul le patch Y Age de Lifewave peut, sans dommage aucun et pour un prix abordable, donner au corps du glutathion en quantité suffisante. Je rappelle pour mémoire que le patch de Lifewave permet d’augmenter la concentration de glutathion dans le sang de plus de 300% en 24 heures seulement. Qui dit mieux?

Pour en savoir davantage sur ce produit, allez à:

http://www.lifewave.com/weidmann

puis cliquez sur «products» puis sur l’image de «Y Age Glutathione»

pour acheter: cliquez sur «Buy now»

vendredi 7 mai 2010

Pourquoi le cholestérol n'est pour rien dans votre infarctus


   
   « C’est le mensonge qui mène le monde » affirmait Jean-François Revel à la première page de son livre « La connaissance inutile ». Et il en donnait de remarquables exemples, en politique, dans les médias, en économie. On pourrait dire la même chose en ce qui concerne la santé.

    Le livre du docteur Michel de Lorgeril, intitulé « Cholestérol, mensonges et propagande » est un brûlot anti cholestérol. Ou plus exactement un brûlot contre un certain mensonge médical diabolisant le cholestérol afin de satisfaire, par la vente de médicaments à base de statines, la croissance des entreprises pharmaceutiques (un milliard d’euros chaque année leur est versé au titre de la lutte contre le cholestérol, par l’assurance maladie, c’est à dire par nous).

    A travers la médication, inutile mais rémunératrice et souvent dangereuse par les effets secondaires induits, c’est la mauvaise façon de lutter contre l’infarctus qui est visée.

    Très documenté, très scientifique, cet essai remet en cause beaucoup d’idées reçues ou plus exactement d’idées fausses imposées. Il fait froid dans le dos. Des entreprises, des scientifiques, jouent avec notre santé pour se remplir les poches.

    A ceux que l’infarctus menace, l’auteur, qui est cardiologue et chercheur au CNRS, propose dans la dernière partie, des solutions en termes de mode de vie et de nutrition.

    Voilà un livre à passer, une fois votre lecture achevée, à votre médecin de famille et à votre cardiologue. La vérité les libèrera.

« Cholestérol, mensonges et propagande » de Michel de Lorgeril , Editions :Thierry Souccar

lundi 3 mai 2010

Qui s'intéresse réellement à votre santé?


   
   Il est bien recommandé aux distributeurs de Lifewave de ne pas employer le mot « santé » dans la promotion des patchs. « Bien-être », tant qu’on voudra, « santé », non ! 

   Sinon, la société pourrait se retrouver devant les tribunaux pour exercice illégal de la médecine. Que les effets des produits soient avérés bénéfiques sur le sommeil, la reconstitution des tissus ou la disparition des douleurs n’en fait pas des médicaments pour autant. La « sécu » n’est pas prête à les rembourser.


    Les lobbies médico-pharmaceutiques veillent au grain. Pour eux, les pilules chimiques sont reines. Certaines ne soignent rien, d’autres soignent mais, dans ce cas, gare aux effets secondaires.
 
   Prenons mon cas en exemple. Sauf à jouer avec ma vie, je suis astreint à la prise journalière de deux médicaments différents. Je lis, sur la notice du premier, la liste des effets indésirables : « fatigue, refroidissement des extrémités, troubles digestifs (maux d’estomac, nausées, vomissements), insomnie, cauchemars, impuissance ». Lorsqu’on sait qu’on en a pour la vie, voilà qui ne remonte guère le moral.
 
   Et il ne s’agit là que des effets les plus fréquents. Mais nul n’est à l’abri d’autres réjouissances telles que « l’insuffisance cardiaque, la chute de tension artérielle, la gène respiratoire, l’hypoglycémie, la sécheresse oculaire », et j’en passe.

   Le second médicament me promet aussi toute une panoplie de catastrophes, dont certaines vont aggraver les effets du premier : « étourdissements, maux de tête, troubles du sommeil (encore ? Vite donnez-moi un patch « Silent night » de Lifewave), de la vision, troubles gastro-intestinaux, éruptions cutanées, troubles urinaires, sexuels (vite, David Schmidt, un nouveau patch à concevoir), douleurs et crampes musculaires », etc.

   Étonnez-vous si, après cet inventaire néo-réaliste, certains médecins et chercheurs considérent ce produit comme un poison pour le corps qu’il faudrait retirer de la vente.
   
  Mieux encore ! D’autres pensent que la maladie qu’il soigne n’a rien à voir avec l’infection générale pour laquelle je suis traité. J’ai donc carrément flanqué la boîte de pilules à la poubelle, figure de style pour dire que je l’ai remise à mon pharmacien préféré.
   
   C’est égal, nous marchons carrément sur la tête. Et Hippocrate est bien oublié, lui qui conseillait aux praticiens de la médecine : « D’abord, ne pas nuire ».